Corse 2018: Si ça passe pas...

Fuite au carbu, pneus dégonflés, picotements dans les mains,...il est grand temps de redémarrer les motos!
On charge les XR, direction le Sud!



Dimanche 25 mars, nous voilà en terre connue: la Corse



On commence par flâner dans les rues de Bastia...et Tutuf fait déjà le con: la semaine va être longue  











Lors d'un apéro avec des enduristes locaux, on retiendra une chose:
"Si ça n'passe pas, il faut forcer...si ça n'passe toujours pas, c'est que tu n'as pas assez forcé!"

Après une nuit de repos, et de réflexion, le beau temps nous pousse à aller nous dégourdir les tétines!

La suite , vite.....
Sans oublier les photos !

Faut pas montrer du doigt. C'est péché.

Apparemment,ya pas que les tétines qui dégourdit l'ami Tutuf

XRAlain a écrit:

La suite , vite.....
Sans oublier les photos !

Ça va être rapide: apéro, bronzette, mécanique et lumbago!

monosapiens a écrit:

Faut pas montrer du doigt. C'est péché.

Tu comprends maintenant l'adage qui dit :

quand le sage montre la lune, le sot regarde le doigt ....

sacré photographe

Sur la photo, la lune est cachée et on ne voit pas le doigt.....

Pour vous faire patienter...

Tout ça c'est bien beau, mais je trouve qu'on est rentré un peu rapidement dans le vif du sujet.

Ce périple a commencé d'abord par la récupération du gamin en son fief de Nuits Saint Georges, où ma première corvée a été de l'emmené déposer son Italienne à la déchetterie révision pour une éventuelle et hypothétique vente (on se demande qui pourrait être intéressé par cet assemblage douteux de plastiques et d'alu aux formes torturées)

Après une bonne nuit de sommeil où ses ronflements n'ont pas troublé la quiétude de mon repos malgré les bières qu'il a ingurgité,
c'est l'heure de la douche,
et je constate avec effroi que nous n'avons pas les mêmes valeurs, et je comprends d'où vient son physique de sandwich SNCF.



Moi je me lave avec un produit SURGRAS (car mon idole c'est JP) alors que lui se nettoie avec un dégraissant

Heureusement, j'ai une semaine complète pour le reprendre en main . . .

Puis chargement des motos qui, théoriquement, ont reçu une petite révision / entretien visant à ne pas être ennuyé pendant cette semaine de plaisir.

Le gamin m'a quand même demandé de descendre avec mon tournevis à frapper (sur qui ???).



Heureusement, le camion est spacieux car le bougre emporte plus de bagages qu'une gonzesse.

si je comprends bien c'est "une gonzesse sandwich sncf"
quel gourmand ce Tutuf...

tutuf62 a écrit:

Tout ça c'est bien beau, mais je trouve qu'on est rentré un peu rapidement dans le vif du sujet.

Ce périple a commencé d'abord par la récupération du gamin en son fief de Nuits Saint Georges, où ma première corvée a été de l'emmené déposer son Italienne à la déchetterie révision pour une éventuelle et hypothétique vente (on se demande qui pourrait être intéressé par cet assemblage douteux de plastiques et d'alu aux formes torturées)

Après une bonne nuit de sommeil où ses ronflements n'ont pas troublé la quiétude de mon repos malgré les bières qu'il a ingurgité,
c'est l'heure de la douche,
et je constate avec effroi que nous n'avons pas les mêmes valeurs, et je comprends d'où vient son physique de sandwich SNCF.



Moi je me lave avec un produit SURGRAS (car mon idole c'est JP) alors que lui se nettoie avec un dégraissant

Heureusement, j'ai une semaine complète pour le reprendre en main . . .

d'un coté ca graisse, de l'autre ca dégraisse...hum hum, logique tout ca...

Descente tranquille par l'autoroute, on embarque en fin de journée à Nice.



Déjeuner dans un resto super classe que l'gamin a déniché sur le guide du routard

Et sur le parking du KFC Valence,

l'occasion de montrer au gamin ce que sont des vraies motos.



2 Triumph, raides de neuve, sorites de concession.

Une Bonneville et un Bobber.

Un moteur, 2 roues, de l'acier, de l'alu, du cuir . . . .

et pas un bout de plastique comme sur toutes ces bécanes modernes qui semblent sorties d'un manga.

Petit arrêt au dessus ce Cannes, on est large au niveau du timing.



Pendant ce temps la, l'gamin s'adonne à l'activité préférée des d'jeun's : le portable.

Arrivée sur le port de Nice . . .  ça sent le fric.



On est en avance, on prend tranquillement la file d'attente pour l'embarquement. Y a pas grand monde, ça devrait aller vite.



Enfin à bord, et pour une fois, on ne chantera pas : qu'est-ce qu'on est serré, au fond de cette boite . . .

Décidément, je crois que cette traversée va me plaire.



J'ai pas trop fait gaffe au moment des réservations . . . du coup on se retrouve avec une cabine "handicapés".

Pas grave, y a pas sur-population sur le ferry à cette époque, et avec le gamin, ça peut passer



Toujours avec son téléphone à la main celui-là.

Là, ça sent vraiment la Corse.



Le gamin façon beau gosse "j'me la pète"



Pas de catalyseurs sur ces pots là ????? Salopards de motards qui polluent

Débarquement dimanche matin de bonne heure à Bastia.

Petit déjeuner puis balade dans le vieux port avant d'aller rejoindre nos hôtes.



Car demain les monocylindres vont se réveiller !!!!!!

Et lundi matin, c'est partiiiiiiiiiii.

On pensait que nos hôtes allaient pouvoir nous accompagner mais des obligations de services les ont obligé à nous lâcher dans la nature.

Pas grave.

Déjà reprendre contact avec la moto qui n'a pas roulé depuis le 14 juillet chez Teambrun.

On prend en direction du col  de Santo Stefano (on est basé 10 kms au sud de Bastia) puis la route du défilé de Lancone et au premier chemin qui part sur la montagne on se lance.

Une bonne grimpette en lacets fraîchement élargie au bulldozer suite à un incendie récent nous fait prendre rapidement de l'altitude.

L'endroit idéal pour immortaliser nos premiers tours de roue à tétines sur les chemins corses.

Qu'est-ce que ça fait du bien !!!!!!!

Moi qui ne voulais pas révéler deux ou trois dossiers...je vais peut être parler de tes cours de géographie et de tes pertes de mémoire...

knight a écrit:

Moi qui ne voulais pas révéler deux ou trois dossiers...je vais peut être parler de tes cours de géographie et de tes pertes de mémoire...

Pas la peine,

tout le monde sait que la carmargue est plus au sud que Bordeaux.